Une chasse au trésor improvisé (ouvert à tous)

Enfin je fini par arriver dans la jungle noir. Mon maitre m'avais souvent parlé des légendes de la jungles noir. Des ruines, des repères de monstres et même la résidence des dieux. Il était évident que j'y trouverais quelque chose si je m'y aventurais et qui sait peu être une chose qui me serait utile. C'est ainsi que je m'aventura dans la forêt... et m'y perdit, mais comme on dit il faut se perdre pour trouver quelque chose de perdu non?


HRP:se déroule le soir du 23 Jorion

Layfon, déjà ennuyer par le Raskri a la maison, avait décider de prendre quelque vacances. Il avait décider de retourner dans la jungle noir, au sud de Migalia.

Il avait déjà passer quelque temps ici, mais peu. Pour un raison étrange, la foret emmenait une aura qui repoussait Layfon.

Mais cela n'empêchait pas que le garçons y allait de temps en temps. Curiosité le poussait par-dessus la pire des peur parfait.

La curiosité, le pire défaut qu'il y avait...

Marchant, livre d'intelligence ouvert sur des page priver de Layfon, il cartographiait, temps bien que mal la jungle.

Marchant ainsi, il tomba sur un bruit qui semblait ne pas appartenir a la jungle.

Bien sur, sa curiosité la emporter. Au dessus de toute précaution.

Il alla donc voir la source de son, des pas.

Mais comment satisfait fut-il de voir un humain.

Pousser par la peur, pousser par la curiosité, le petit vampire alla voir l'humain.

D'une voix craintif et interrogateur:
"Bonjours, monsieur l'aventurier. Avez-cous idée au qu'on ait?"

Je marchais, toujours en direction de ma destination, le problème étant que je ne savais pas quelle était cette destination. La seul chose dont j'étais sur était que se serait digne de ma légende. Je vis soudain un petit garçon, sortir de la jungle devant moi et me demander où l'on était. Je regarda aux alentours et dit comme si c'était la chose la plus évidente aux monde.

«Et bien nous somment perdu dans la jungle noire et... sur le point de trouver quelque chose de très intéressent.»

Je fini ma phrase avec un petit sourire, mais ma main ne s'éloigna pas du manche de mon arme prêt à dégainer. Il était évident que j'attendais quelque chose.

"Non, pas vrai, on es pas perdu dans cette sinistre place..." Le sarcasme perlait de sa voix qui semblait avait point de confiance, même elle était un peu effrayé.

"M'enfin, et qu'es-ce qui vous fait croire que vous allez trouver quelque chose de moindrement intéressant de ce coin perdu de la jungle, mon sir?"

Il avait le livre encore a la main, et y cartographiait encore, mais en fait, il était près à sortir Némésis, ou une de ces arcs n'importe quand.

Je le regarda et ne manqua pas de remarquer la politesse de sa question, chose peu commune chez un enfant apeurée. Je décida quand même de lui expliquer mon point de vue.

«Ce qui me fait croire que je vais trouver quelque chose d'intéressant? Et bien c'est toi. Tu à du entendre des légendes des contes et des histoires, dans tout ces cas cette situation ne peu signifier que deux choses. La première option c'est que tu est ici pour m'apporter un indice ou m'aider dans mon aventure, ce qui en soit m'amènerais à trouver quelque chose d'intéressant. La deuxième option, c'est que tu est un des monstres de la jungle noire qui est là pour me tuer et dans ce cas après que tu est échouer je pourrais probablement trouver dans les environs, l'endroit où tu entreposerais les trésors de tes victimes ou peu être, si je suis vraiment chanceux, tu gardais l'entrée d'un ancien bâtiment renferment des objets d'une puissance inimaginable que je pourrais récupéré et dans ce cas tu ne peu nier que ce serais très intéressant.»

Layfon le regarda avec des gros yeux interrogateurs, se demandant si la personne devant lui n’était pas fou... Il referma le livre qu'il avait dans la main et ce donna un coup sur la tête avec...

Sans plus un mot, il fit demi -tour et parti. Non, il n’ira pas loin de cette personne. Elle pouvait bien être folle, mais la jungle était plus sécuritaire a deux.

Layfon prit s'Est instant de prédateur, ce cachant, marchant silencieusement... Il ne voulait pas être vu du fou.

Je regarda le jeune se taper sur la tête puis s'en aller sans dire un mot. Quand j'eus l'impression qu'il n'était plus à porté de m'entendre, même si je me disait qu'il devais être dans le coins. Après tout, aucun enfant normal perdu dans la jungle noir ne s'éloignerait d'une personne qui pourrais le défendre ou un monstre laisserait une proie s'approcher de son repère. Je ne sentait pas de menace immédiate et je marchait déjà depuis un moment, je choisi donc de prendre une pose. Je dégaina mon arme, m'appuya contre un arbre proche et commença à frotter doucement la lame avec le chiffon que je gardais dans ma poche pour cette fonction, Suzume aimais être bichonner et quand on s'attend à combattre vaut mieux que son arme soit de bonne humeur. Je trouvais l'ambiance de la jungle trop oppressante pour profiter de ma pause et décida qu'une conversation allègerais l'atmosphère, je me mis à parler d'une voix calme mais basse.

«Nous somment partie depuis un moment déjà et nous avons fait une rencontre, donc selon toute vraisemblance les événement devrais commencer à s'enchainer de plus en plus fréquemment. Tu peu sentir les monstres et autres races non humaines, tu ne verrais pas par hazard de gros signals dans le coins qu'on pourrais suivre jusqu'à trouver quelque chose d'intéressant?»

La Jungle noire portait bien son nom : en ce lieu relativement bien éclairé de l'étendue verte, il filtrait à travers la dense canopée suffisamment de rayons du soleil pour que l'on puisse voir ses mains devant soi.

La lourde et humide atmosphère humide qui régnait en ce lieu s'emplissait de la multitude de bruits propres à une jungle où la vie grouille incessamment. Oiseaux, insectes, crapauds, et même félins prédateurs faisaient entendre leur jacassement et leur piaillement, créant ce sentiment de vigueur mais aussi d'oppression, la sensation de se sentir observé par des yeux affamés n'attendant que le moment opportun pour frapper, tuer, et manger un copieux repas. La jungle ne connaît qu'une loi : le plus fort gagne.

Justement, Gray sentit subitement un frottement froid et lisse glisser sur sa jambe...

Il y avait sur ma jambe quelque chose qui ne devais pas s'y trouver. Je sera fortement la garde de Suzume et regarda vers ma jambe espérant y voire dépasser de son pantalon l'appendice d'un monstre qui voulait sa mort et priant pour qu'il ne s'agisse pas simplement d'un serpent, après tout il n'y à pas de honte à mourir de la main, tentacule ou autre, d'un monstre légendaire, mais comment avoir une légende en mourant d'un serpent comme les autre?

Un plus d'être apparemment fou dans sa logique, il prouvait a être fou au point de parler a son arme. Sur c'était pas si pire indépendamment, puisque Layfon parlait bien a son épée de temps en temps lorsqu'il fessait l'entretient. Et durant les long jours d'été, ou il se sentait seul, il parlait a une petite boule de feu qu'il créait. Il se rappelait bien de jour ou il se maudissait de ne pas être capable de parler a des esprits, ou il serait encore plus drôle d'appeler un esprit a vivre temporairement dans le boule de feu.

Son esprit dériva encore un peu plus, mais il se réveilla lorsque sa face frappa le sol.

Il se remit a se concentrer sur la jungle noir, elle ne pardonnait pas, les légendes disaient.

En baissant la tête, Gray put voir passer un simple serpent comme les autres, du moins en ce qui concerne la Jungle noire. Large comme la cuisse de l'homme-dragon, probablement long de deux mètres au moins, il s'agissait d'une véritable bête capable de tuer sans le moindre remords.

Layfon, de nouveau alerte, pouvait sentir une sorte de présence dans son dos... quelque chose de bestial...

Layfon tourna, la tête prés a courir vers le fou... et mit la main sur son épée, Némésis, juste au cas ou la bestiole veuille faire du mal a quelqu'un, ou juste manger... Vive la jungle noir, ou Layfon ne pourrait pas utiliser ses arcs très bien dans cette densité de branche et feuille.

Ma première émotion, quand je vu qu'il ne s'agissait que d'un serpent fut la déception, mais elle ne dura pas longtemps, car même si c'était un serpent ordinaire, il n'en restait pas moins potentiellement mortel. Je devais m'en débarrasser, mais comment ? Si je lui tirais sur la queue, il me mordrais surement et si je le frappais avec mon épée sur ma jambe mon pantalon résisterais surement mais je risquait de me casser la jambe, ce qui ne serait ni pratique ni héroïque. Il ne me restait plus qu'une solution je devais enlever mon pantalon. Je prit soin de coincer la tête du serpent avec le cuir de mon pantalon en l'enlevant, de façon à éviter toute morsure avant de le jeter sur le sol. Ainsi, Suzume à la main, moi, le brave Gray affronterais les monstres que la jungle noir m'envierais, avec comme seuls habits mon manteau et ma peau nue.

La tête tournée vers l'arrière, Layfon ne pouvait rien voir. Ou du moins, rien d'inhabituel.
Pourtant, la présence était toujours là. Très près...

Lentement, pour ne pas affoler la bête, Gray commençait à retirer son pantalon. Insensible à cette attention particulière, le serpent continua son chemin, à la recherche d'une proie moins exotique, et avant même que l'homme-dragon n'ait terminé il était hors de vue.

Layfon avança rapidement, diminuant la distance entre le fou qui se dévêtisait dans la jungle noir! Il contourna un peu le mal sain enfin que si le monstre veuillent le suivre, et bien il devra faire attention de ne pas se faire voir par les deux personnes.

De plus, juste en précaution, Layfon commença a accumulé une charge de magie...

Le serpent est juste parti... Non! Mon plans avais marché, j'avais réussi à me défaire in extrémis de l'emprise de la bête mortelle, qui devant la peur que ma présence lui imposait avais du fuir. Ça sonnait déjà mieux, mais je devais quand même me trouver quelque chose de plus imposant à combattre ou dompter. Soudain l'enfant que j'avais rencontrer plus tôt sorti des buissons et alla se cacher derrière moi. J'affermis ma prise sur Suzume et me plaça de façon à pouvoir voir l'enfant et l'endroit d'où il venait, car si il était possible qu'il s'enfuilait de quelque chose, je n'avais pas écarté l'hypothèse qu'il ne cherchait qu'à me tuer.

La chose qui suivait Layfon partit exactement au même moment que le vampire, et parvint sans le moindre effort à rester toujours aussi près de lui. Il pouvait presque sentir des doigts griffus se poser sur son dos - à moins qu'il ne commence à s'imaginer des choses. La Jungle noire n'était pas dangereuse uniquement pour la santé physique.

D'où Layfon était surgi, il n'y avait rien. Pas le moindre mouvement, hormis celui des feuilles déplacées par le passage du vampire qui reprenaient leur position première. La chose était toujours dans leur dos.

Gue, me revoilà devant le fou, un vraiment fou personnage, peut-être devrais-je juste repartir, mais avant, je devrais me débarrasser de se sentiment agaçant que quelque chose me suis...


Layfon retira sa lourd cape de laine d'un mouvement rapide frottant la nuque et la tête, et la secoua rapidement, Il fessait dos a l'homme, pour deux raisons: 1 si la créature était sur sa cape et partait, il fallait pas que sa tombe sur l'homme, et de 2 l'homme lui dirais s'il avait quelque chose dans le dos, probablement. Il avait certes l'air fou, mais pas idiot.

Mais il n’avait pas confiance a l'homme pour autant, Layfon écouta pour savoir si celui-ci s'approchait. Non, il tenait vraiment pas a être attaqué de dos et dépouiller.