Dans la taverne (ouvert à tous) [TERMINÉ]

Layfon se tanna de la percéverance du feu et ce décida d'aidé les gens de toute autre façons que de magiquement atténuer le feu, et pour se faire, il trouvant un coin proche des flammes, dans l'ombres, sans de gens qui passe, et de mis a désiné un large cercle au sol, rajoutant ligne et symbole tout en observant et pensant, cherchant de faire son mieux avant que quelqu'un tombe sur lui.

En cours, il cherchait a faire le maximum avec un minimum de temps, dans les limites des lois de son art. Et ainsi, il complexifia son cercle de transmutation rapidement mais précisément, tout en disparraissant si un etre vivant passait par la.

Mais avant qu'il n'ait pu faire le moindre geste pour sauter sur ses proies, un chaîne passa par-dessus sa tête sans qu'il ne puisse l'éviter dû à son état d'ivresse avancé. Rejoignant la première, une deuxième chaîne lui tomba autour de la gorge, le tirant vers l'arrière. Avec sa gueule, il attrapa le fer dans l'intention de tenter de le broyer entre ses canines, mais sans grand résultat. Il ne lui vint même pas en tête de tirer ses assaillants vers lui. Grognant, il tenta de reculer sans succès alors qu'un filet venait lui emmêler les pattes. Le loup tenta de se relever sans succès avant qu'une fumée blanche et acre n'envahisse son champs de vision. Levant le nez au ciel, il poussa un hurlement déchirant alors qu'il sentait ses forces le quitter peu à peu. Bientôt, malgré sa robustesse, l'animal dormait à point fermé sur le sol froid de la rue.

Ceux qui avaient immobilisés Kalek si rapidement et efficacement étaient un groupe d'environ une demi-douzaine d'homme robustes. Ils avaient procédés de manière tellement coordonnée que Kalek n'a pu leur échapper.

Ils avaient étés allertés par des villageois qui avaient vu l'homme-loup se transformer, puis s'étaient approchés en silence de ce dernier alors qu'il était occupé par les hommes qui l'invectivaient. C'étaient des chasseur de prime qui écumaient les villes et villages à la recherche d'anomalies à capturer et à vendre en esclaves dans les souks et les marchés noirs des villes du sud.

Après avoir neutralisé Kalek, un des hommes, probablement leur chef sorti de la mêlée et lança à ses compagnons:

«Aller les mecs, on l'embarque avec les autres. Il va faire un sacré tabac, ce monstre et nous rapporter un sacré beau magot au marché noir de Migalia.»

À ces mots, les hommes empoignèrent Kalek du mieux qu'ils purent et le transportèrent dans la rue principale où les attendait un chariot tiré par de puissants chevaux de traits, mais qui semblaient taillés pour la vitesse. Le chariot était en fait une grande cage roulante dans laquelle se trouvait des créatures mi-humaines, des hommes bossus, des trisomiques et autres. Une autre demi-douzaine d'hommes se trouvaient près du chariot pour le garder d'éventuels voleurs ou casse-pieds. En tout, l'escouade de chasseur de prime comportaient 14 hommes.

Ils enfilèrent un collier de métal au jeune loup avant de le jeter sans ménagement dans la cage, au milieu des autres captifs qui se tassèrent par peur de coups de leur tortionnaires. Puis, ils refermèrent la porte en rigolant un peu de leurs prisonniers.

Aethara reçut la réponse tant espérée à son appel, et se mit à courir dans la direction du hurlement. Alors qu'elle arrivait à l'intersection de la ruelle où se trouvait auparavant Kalek, elle vit des hommes entraîner une masse sombre inidentifiable, mais qu'Aethara soupçonna fortement d'être Kalek. Ces hommes l'emmenaient dans la direction opposée d'où elle venait, elle les prit donc en chasse.


Elle arrivait sur les lieux alors que ceux-ci refermaient la porte de leur chariot-cage en se moquaient de leur captifs. Elle tenta d'identifier Kalek, puis un rais de la lumière provenant du feu illumina l'intérieur de la cage. C'était bien lui, enchaîné et couché sur le planché grillagé de la cage.

Elle décida de ruser avec les hommes qui ne semblaient pas avoir un QI très élevé. Dans son pays d'origine, on avait l'habitude de recourir à l'art de l'ombre chinoise pour raconter des histoires aux tout-petits. Mais les ombres pouvaient aussi tromper des ennemis en se faisant passer pour plus gros que ce qu'on était véritablement. C'était ce qu'Aethara avait l'intention de faire.

Elle se plaça de telle façon par rapport au feu que son ombre était immense. Puis, elle prit une voix beaucoup plus rauque et indibutablement plus masculine que celle qu'elle a d'ordinaire pour s'adresser aux gaillards de¸son ton le plus autoritaire et menaçant:

«Vous, bandes de putrides scélérats, vous osez vous en prendre à un des miens! Sa meute va bientôt vous trouver et vous déchiqueter en pièce pour cet affront envers ce jeune homme ! Que la malédiction du grand chef soit sur vous, elle vous poursuivra jusqu'au dernier souffle que vous expierez !»

Prise dans la fougue de sa tirade, elle sorti de façon théâtrale son katana de son fourreau et le pointa de façon à ce que son ombre menace les brutes.

Ce fut un beuglement sourd et rageux:
"MEEEEEEUUUUUHHHHHH!!!!!!"
Qui fonça droit sur Aethera tel un footballeur, un tant soit peu plus brutal et immsense.
Abruti, dans tout les sens du terme, qui ensuite fonça sur les abrutis qui étaient le plus proche soit les chasseurs de primes.
Sans plus ni moins. Sa hache immense frappa dans tout les sens. Piller sur Kalek et ensuite bondir
pour trouver ses prochaines proies à déchiqueter.
Évidemment, le cheval de la carriole ne faisait pas distinction, sa masse de chair ambulante n'était que trop visible dans son champ de vision. Masse de chair qu'il avait bien l'intention de trancher en deux. Juste pour le plaisir.
Et oui, notre mamouth sanginolent, notre rhinocéros laineux en rut parcourait la plaine rammassant tout sur son chemin, sans distinction, riche et pauvres, vieux ou jeune, homme magnanime et juste qu'il était. Cette charue dans sa course folle cherchait juste à tout ravager pour ensuite s'en aller. Préférablement avec une femme...avec des gros seins...Préférablement...

HRP: Rajnivar, il va falloir que tu te retire bientôt de ce RP, parce qu'il va terminer bientôt et tu ne dois pas empêcher le cours des choses...


À la vue de l'immense ombre d'Aethara et après sa tirade, les hommes rigolèrent, car ils en avaient vu des vertes et des pas mûres et ils connaissaient le coup de l'ombre. Cependant, lorsqu'ils entendirent et virent Rajnivar foncer sur eux, ils commencèrent à se dire que cette apparition était sérieuse dans ses propos...

La moitié de la troupe surentraînée prit place entre Rajnivar et la charrue pour faire obstacle à velui-ci. Ils dégainèrent lances et arcs. Les premières furent pointées vers Rajnivar de façon à ce que celui-ci s'embroche dessus dans son élan. Les seconds furent tendus, et une volée de flèches fut lancée vers Rajnivar. Celui-ci devrait à la fois éviter une volée de flèches et ralentir son allure pour éviter de s'embrocher dans son élan et s'il voulait entrer en corps à corps avec les défenseurs de la charette.

Aethara pendant ce temps observait la scène confuse. Elle avait eu une aide inespérée, mais la bête avait d'abord foncé sur elle, ce qui pouvait lui laisser croire que cette bête n'avait pas de camp particulier...

Pendant qu'une partie de l'escouade défendait le chariot, l'autre partie alla chercher des chevaux taillés pour la vitesse qui avaient étés parqués dans une étable non loin. Puis, ils enfourchèrent les animaux, et partirent au galop en escortant le chariot qui filait à toute allure malgré ses airs de fragile moyen de transport. Ils avaient pour mission d'empêcher toute attaque de la part de Rajnivar ou de toute autre personne sur le chariot.

Ils avaient laissés leurs montures aux sept hommes laissés en arrière auprès de ces derniers pour lorsqu'ils se seront débarassés de la furie qui courrait vers eux...

HRP:D'accord

Il usa de sa hache immense comme bouclier, contre les flèches? Que neni! Notre fanfaron dit "Le Malade" n'était certainement pas en état de constater ce genre de menu détail. Il ne vit qu'un mur devant lui (les soldats). Notre héro, dans toute sa grâce, sa superbe, sa technique et sa stratégie n'avait qu'un seul but: défoncer tout sur son chemin. Aussi simple que cela. Il en avait même oublié la raison de sa rage folle. Une volonté immuable qui l'animait dictait ainsi: Écraser tout sur son chemin. Porte, murs, hommes, femmes, n'importe quoi. Il allait ensuite continuer sa cavalcade dans une direction quelconque. Fort probablement qu'il terminerait sa course folle dans quelques heures voir quelques jours. Il reprendrait ses sens et continuerait sa déambulation...

Rajnivar fonça dans le blocus que formaient les hommes, les lames rebondissant sur son torse velu et résistant, entaillant très sommairement celui-ci sans le transpercer outre mesure.

Rajnivar, en revanche, fonça dans la muraille d'homme telle une boule de quille sur....eh bien, des quilles. Il en projeta d'ailleurs deux qui n'étaient pas assez bien campés sur leurs jambes, à quelques mètres de là.

Mais au lieu de se jeter dans la mêlée et d'en découdre avec les hommes restants, il continua sa course sans but réél et sans aucune logique. Mais les hommes restants, eux, le poursuivirent, car premièrement, il les avait attaqués, et deuxièmement, il était dans la classe de ces bêtes de foires qu'ils traquaient et revendaient en esclaves.

Dans la confusion, Aethara, quant à elle, avait le champ libre pour poursuivre le chariot et les geoliers de Kalek.