Une attaque de force!

-... hum hum...

Shiza se retourna et regarda les compagnons qui était venue la voire. Elle lui sourit et marcha vers le gouvernail. Tout en avançant, elle dégaina son katana et coupa les cordes qui l'amarrait au port. Puis en grimpant l'escalier, elle rengaina son katana et se posa derrière le gouvernail.

-Tout le monde sur le pont!!! On retourne a Daros, préparer les canons et a un abordage, soyez près a tout!!!

Elle fit tourner le gouvernail et il tourna dans la direction de la mer.

-Monsieur Thior, je doute que nous soyons assez fort pour vos asseyant, alors allez chercher d'autre navire. Au fait qui vous attaques?

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Après l'arrivée de Talinna a Daros pour rejoindre son navire et son équipage avec Fratbark, elle était rester dans cette ville un bout de temps. Son navire n'était pas au port, mais on l'avait informer qu'il avait été transféré dans un village non loin d'ici. Alors elle ne c'était pas inquiétée, Mais un jour une armée vain attaqué la ville. Talinna se fit donc un devoir d'aider cette ville. Elle était dans la ville a se promener et a tuer les troupes d'infantries qui passait proche d'elle. Restant subtile elle tuait silencieusement ses adversaire.

-Merde... pourquoi mon navire n'est jamais là au bon moment...

Elle se promenait dans l'ombre des maisons et soudain pensa qu'elle avait laissée Fratbark dans la chambre de l'auberge.

-Je dois aller le chercher, mais avant je passe par le port.

En esquivant une troupe d'infantrie en se cachant dans l'ombre d'un maison, elle continua vers le port toujours aussi silencieusement.

Thiro n'eut aucune problème à rallier les bateaux du port voisin pour venir aider Daros. Personne ne voulait voir la ville portuaire tomber aux mains des ennemis, peu importe lesquels.
De retour au-dessus de la bataille, la sentinelle put clairement voir que les forces de Daros avaient reculé pendant son absence. Tous faisaient de leur mieux, mais l'avancée Raskri semblait impossible à arrêter, surtout maintenant que les éléphants commençait à pénétrer l'enceinte de la ville. Les mages avaient déployé des trésors d'ingéniosité, mais de simples flammes ne peuvent pas grand-chose contre des plaques de métal. Très certainement, la retraite sonnerait bientôt.

De son côté, Talinna n'eut aucune difficulté à se déplacer dans la ville. Les combats étaient pour l'instant surtout en périphérie, et les civils se réfugiaient chez eux dans l'espoir de voir la calamité disparaître bientôt. Lorsqu'elle arriva au port, c'est un paysage de dévastation qui s'offrit à elle. Les murs de ce côté de la ville avaient été jetés à bas sous les assauts des balistes, qui continuaient à tirer sur le reste de la muraille. À travers les décombres, debout sur un tapis de gravats, les soldats de la ville affrontaient des guerriers en imposante armure rouge. Il va sans dire que la mêlée favorisait les envahisseurs, et les défenseurs de Daros devaient progressivement céder le terrain.

Ce matin là, Fratbark s'éveilla en recevant le soleil directement dans ses yeux. Il était un peu fatigué lorsqu'il se leva, mais quelques instant plusieurs, ce fut un grand bruit venant de l'Étage inférieur de l'auberge qui le fit sursauter. Rapidement, il mit son seul vêtement, son pagne, et prit son gourdin et sa dague, cadeau de Talinna, pour aller voir ce qui se passait. Il mit aussi son arbalète en bandoulière, avec une vingtaine de flèches.

Il descendit les escalier en silence, et rendu en bas, il observa en silence ce qui se passait. Il y avait deux hommes en armure rouge dans l'auberge. L'un d'eux menaçait l'aubergiste de la pointe de son arme, le tenant ainsi dans un coin de la pièce, tandis que l'autre s'occupait de voler la caisse bien remplie. C'était en effet un auberge très populaire à Daros. Heureusement pour lui, il vit que les deux pilleurs lui tournaient le dos. Il en profita pour saisir celui qui volait la caisse. Il avait réussir à le prendre de façon à ce qu'il ne pouvait bouger d'aucune façon, tout en l'étranglant pour éviter qu'il n'attire l'attention de l'autre. Toujours en silence, il l'étouffa jusqu'à sa mort, le déposant ensuite discrètement sur le sol. Fratbark était un habitué de cette technique qu'il utilisait de temps en temps pour chasser. Cela lui avait permis maintes et maintes fois de tuer plusieurs proies d'affilée, sans alerter les autres pour ne pas qu'elles s'enfuient toutes. Puis, il leva son gourdin haut dans les airs, avant de l'abattre violemment sur la tête du pilleur. Même avec un casque, personne ne pouvait résister à un coup aussi puissant porté directement sur la tête. Il l'acheva ensuite en lui tranchant la gorge de sa dague bien coupante.

Les deux hommes désormais morts, et l'aubergiste hors de danger, Fratbark l'aida à s'asseoir à l'une des table qui n'avait pas été renversée. Il commença par le calmer, cet homme venant tout de même d'échapper à la mort de justesse. Puis, l'homme-loup lui parla.

- Pouvez-vous me dire qui étaient ces hommes et ce qu'il faisaient ici mon cher? Il s'agit pour moi d'un réveil plutôt brutal et je ne suis pas sur d'être en mesure de comprendre la situation.

Fratbark : j'en ai sérieusement rien à faire vu l'insignifiance totale de ces personnages, mais n'oublie pas que c'est moi qui est sensé gérer les "personnages non-joueurs" (aka PNJ) .

Le tavernier, qui n'avait pas l'air si effrayé finalement, était plutôt estomaqué par le commentaire de l'homme-loup. Un peu bedonnant, portant fièrement une courte barbe complète. Sa voix basse semblait d'ordinaire rieuse, mais l'humour ne se prêtait pas particulièrement aux circonstances.

« Comment avez-vous pu rester endormi avec tout ce grabuge!? En tout cas, à ce que j'ai compris, Daros se fait attaquer par l'armée Raskri! »

Il se releva, commençant déjà à s'étirer les bras, révélant une musculature plus épaisse que l'on pouvait s'y attendre de la part d'un simple aubergiste.

« Alors, vous venez? On va leur montrer de quel bois on se chauffe! »

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Thior parvint sans difficulté à percer les yeux des mastodontes de ses flèches. Toutefois, son plan se retourna contre lui lorsque les massifs animaux, dominés par la douleur d'avoir leurs précieux yeux percés de tiges de bois au bout métallique, entrèrent dans une rage démesurée. Jetant les soldats sur leurs dos au sol avant de la écraser sous leurs pieds, les éléphants se mirent à frapper violemment les murs de la ville, qui s'écroulèrent rapidement sous les assauts des puissantes bêtes.